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Merci à celles qui ont visité mon blog !! mais j'aimerai que vous vous manifestiez !! en bien, en mal, mais laissez moi une trace que je puisse communiquer avec vous. 
Le but de ce blog c'est l'échange.
Echange d'images perso, de vous pour le plaisir d'être vu sans arrière pensée, ou d'ailleurs pour la richesse, échange de textes érotiques, pour le rêve, échange de dessins pour le plaisir de l'art, faisons ensemble un site de qualité. 
J'attends vos envois avec impatience : mail rob12@orange.fr
faites moi confiance, je suis un particulier sans attache avec aucun organisme commercial.
amitiés à tous et que vive l'érotisme...

Samedi 14 juillet 6 14 /07 /Juil 09:54
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Nouvelle érotique écrite par une amie:

Tout commence par un regard.
Je sais, cela peut paraître abscons qu’un seul regard puisse signifier tant de choses. Mais n’avez-vous jamais remarqué combien le regard d’une femme peut transpirer de désir ?
Je sais, moi, lorsqu’elle agrandit un peu plus ses pupilles, qu’elle me regarde un peu plus fixement, que son iris se trouble, que c’est le moment où le désir la pénètre.
Peut-être ne l’a-t-elle pas réalisé ? Mais je le sais, moi. J’ai tant de bonheur à la regarder, depuis que je suis avec elle.
 
Cela fait déjà deux ans qu’elle m’a ouvert sa porte et son cœur. Je vis chez elle, pour elle, par elle. J’en suis fou !
Et lorsqu’elle a,  à mes côtés, cette montée de désir, je la laisse mener le jeu, bien volontiers. Je me place à son désir, tout entier dédié à elle.
Je l’observe et elle se laisse observer. Elle joue d’elle et je la regarde, de tout mes sens. Je vous assure : de tout mes sens !
Souvent, elle pousse un premier soupir. Tout léger. A peine audible. Je le reconnaîtrai entre mille ! Ce n’est pas un soupir d’ennui, non. Rien de tel. C’est plutôt un souffle éthéré, un souffle diaphane semblable au bruit d’aile d’une mésange qui prend son envol. C’est tout aussi léger et c’est pour moi la première annonce de son relâchement.
Comme j’aime entendre ce soupir !
Parfois, c’est à cet instant qu’elle se lève et entreprend d’ôter ce qui la couvre.  Devant moi, presque indifférente à moi, elle enlève son pull qu’elle jette sur le fauteuil.
Je m’en moque, car alors le fauteuil recevra son odeur et toutes les fois où je m’y assiérai, j’y retrouverai son empreinte, parfumée de sa propre odeur mêlée à celle de son parfum fleuri et ce sera à nouveau mon printemps, même en son absence.
Puis elle enlève son pantalon. Cela me désole qu’elle porte des pantalons. Cela lui donne un air si masculin ! Mais croyez-moi, son corps n’a rien de viril, tout en courbes et en rondeurs, il est pour moi semblable à celui d’une chatte qui étirerait ses membres graciles au réveil d’un long sommeil. Comme elle, elle en a cette élégance féline qui rend chacun de ses gestes si fascinant à contempler.
Et elle se sent si libre devant moi que sa confiance, par cet abandon cent fois renouvelé, m’émeut au plus profond de mon cœur.
J’aime lorsque ses fesses rondes surgissent devant moi et que déjà, l’envie d’y planter mes dents me fait entrouvrir ma bouche et saliver d’envie.
Déjà !  
Jambes nues, tee shirt sur le dos, c’est là qu’elle peut décider de modifier le jeu. C’est ce qu’elle a fait, hier. Elle est partie dans la salle de bain. Bien sûr je l’ai suivie, admirant au passage le balancement chaloupé de ses hanches accueillantes que telle une promesse de voyage, elle offrait à mon regard conquis.
Le jeu est ainsi convenu : lorsqu’elle décide de prendre une douche, je ne dois pas la toucher. Seulement la regarder.
Vous croyez que c’est difficile ?
Comme vous avez raison ! 
Combien de fois l’envie m’a pris de me jeter sur elle ! Mais ma récompense est qu’elle m’offre, à moi seul, ce qu’elle n’offre à personne : son corps, tout entier et sa grâce si sensuelle et sa gestuelle si lascive, à moi seul destinés, sont une promesse de plaisir plus puissante que le plus fougueux des enlacements. 
Déjà elle soulève son tee shirt et la blancheur de sa peau me foudroie.
Ses dessous, souvent colorés, sont comme les pensées qu’elle a plantées devant la maison : des tâches de couleur vibrantes au souffle de l’air. Eux vibrent à sa respiration.
Lentement, elle dégrafe son soutien-gorge. Elle a, alors, une manière bien à elle de ramener ses bras devant pour faire tomber les bretelles et se faisant, d’arrondir ses seins, les rendant encore plus aguichants, cachant leurs pointes déjà durcies par le désir.
Il est rare, à cet instant, que je reste immobile. Mais alors un seul regard suffit à me faire comprendre que le jeu peut s’arrêter là si  je romps la règle.
Alors je me reprends, docile, et la contemple, à l’envi.
Alors elle glisse ses doigts de chaque côté de sa culotte et, en balançant savamment ses hanches à droite et à gauche, la fait glisser doucement le long de ses jambes.
Parfois elle me regarde et ses yeux pétillants me lancent un appel d’autant plus provoquant qu’elle me sait pétrifié.
Et alors je la hais autant que je la désire.
Et sa fourrure sombre exhale une senteur si féminine, que mes yeux se ferment afin que mon nez s’en imprègne et en inonde toutes les fibres de mon corps.
Elle m’enivre.
J’en tremble.
Je crois que j’en gémis parfois.
Elle enjambe la baignoire et me fait face, la douche à la main.
L’eau coule le long de son corps, couvrant chaque centimètre de sa peau d’un fin tissu nacré. Comme j’aimerais être cette goutte qui, tombant de son visage, descend entre ses seins, contourne son nombril et disparaît dans sa fourrure en laissant derrière elle, une traînée lumineuse, comme un chemin à suivre.
Le parfum du gel douche se mêle à l’humidité de l’eau, à son humidité à elle. Ce cocktail de sensations me fait chavirer.
La tête renversée, les yeux clos, elle fait glisser ses mains le long de son cou. La mousse imprime sur son corps le dessin de ses gestes : les cercles sur ses seins dont le bout sombre m’appelle plus sûrement que sa voix, les marques sur ses fesses, presque symétriques comme pour cibler mes caresses et surtout, la mousse sur son sexe qu’elle me présente avec toute l’impudeur qu’elle choisit de m’offrir. Et sa main le caresse et la mousse le recouvre jusque dans ses plis les plus secrets, les plus chauds, les plus odorants de son odeur à elle.  
Je jurerai en avoir le goût sur ma langue. Pourtant, je ne bouge toujours pas.
Je lui suis soumis mais elle, elle m’appartient tout entière, plus vivement encore à cet instant.
Parfois la douche dure plus longtemps. Mais elle a toujours, lorsqu’elle la termine, ce regard malicieux et ce petit rire de gorge plus excitant que le chant d’un chardonneret. Je retiens difficilement mon envie de bondir et de l’agripper. Elle me provoque. Cela l’excite et moi aussi.
Enfin, elle me signifie qu’elle est prête.
Enfin, elle me prend dans ses bras, me caresse le dos, me caresse le torse, de ses mains luisantes et chaudes. La fraîcheur de sa peau me fait frissonner, son humidité m’enveloppe tout entier.
Je l’avoue : ma queue est dressée, raide de plaisir.
Collé à sa peau, je sens son cœur battre contre le mien et ces palpitations achèvent de m’étourdir.
A nouveau, je suis conquis, à mon tour, je m’abandonne.
Et je l’avoue : je ronronne.
J’attendais ce câlin depuis son retour du travail. C’est son jeu avec moi.
Que voulez-vous, j’aime les plaisirs simples.  
Après tout, je ne suis qu’un chat.
 
 
 

Vendredi 20 juillet 5 20 /07 /Juil 13:17
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"Saignée" chanson de Bernard LAVILLIERS:

SAIGNEE était nue à mes pieds
SAIGNEE au visage de mythe et au corps de puma,
était nue sur la plage
SAIGNEE belle forêt de nacre
Savoureuse fleur de massacre
Sexe insatiable aux langues de vipères
SAIGNEE aux seins d'écume, aux offrandes terrifiantes
SAIGNEE aux odeurs de sauvage
SAIGNEE qui recule à mesure que ma main avance
entre tes cuisses ouvertes
SOIS TOUJOURS OUVERTE DEVANT MOI SAIGNEE
Nous irons habiter la maison de ma jeunesse
TON CORPS MODELERA MON LIT PERMEABLE ET MACULE
DE TON SANG COMME AUTREFOIS
SAIGNEE toi qui avale mon sexe sans quitter le ciel
SAIGNEE ta voix raisonne dans mes veines
FEMME aux pensées verticales, aux orifices vibrants
Je porterai ton corps dans la maison de mon choix SAIGNEE 

Fauchant les obstacles d'un seul regard de ton sein vengeur 
VOIS, LA MAISON APPROCHE
Ses neufs fenêtres s'ouvrent et se ferment à mesure que je respire 
SAIGNEE, touche ces murs gris
POUSSE LA PORTE QUI NE SE FERMERA QU'UNE SEULE FOIS 
POUR NE JAMAIS PLUS S'OUVRIR
Comme ma verge t'abîme quand elle te pénètre brutalement
O SAIGNEE, SAIGNEE qui recule tandis que mon sexe avance 
J'AI GAGNE MON PAIN QUOTIDIEN
j'AI TUE ET j' AI VU MOURRIR
JE MOURRAI A MON TOUR, SAIGNEE
SUR TON VENTRE, ENTRE TES SEINS, ENTRE TES LEVRES
JE SERAI MORT MAIS JE T'AIMERAI ENCORE
Je te chercherai dans chaque cellule de mon cadavre pourrissant 
Je percerai le brouillard qui obscurcit les carreaux
Je mêlerai mon haleine à tes cheveux de plomb

Et je trouverai ton corps de belle indifférente
CAR RIEN NE PEUT RESISTER A MON AMOUR

SAIGNEE , SAIGNEE

JE TE VEUX, NUE 
Je te veux, CRUE
Je te veux, PERDUE 
LARGUEE, EMUE
Je te veux, SEULE 
SANS UN MOT, UN SEUL 
Je te veux, TRANQUILLE
RASSUREE , FACILE
SAIGNEE, AUX ODEURS DE SAUVAGE
AU LONG CORPS DE PUMA
ETAIT NUE SUR LA PLAGE
SAIGNEE, BELLE FORET DE NACRE
BELLE FLEUR DE MASSACRE
ETAIT NUE A MES PIEDS

SAIGNEE, SAIGNEE, SOIS TOUJOURS OUVERTE DEVANT MOI,
SAIGNEE...

 

Lundi 30 juillet 1 30 /07 /Juil 23:39
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"Le blason" de Georges BRASSENS:

Ayant avecques lui toujours fait bon ménage
J'eusse aimé célébrer sans être inconvenant
Tendre corps féminin ton plus bel apanage
Que tous ceux qui l'ont vu disent hallucinant.

Ceût été mon ultime chant mon chant du cygne
Mon dernier billet doux mon message d'adieu
Or malheureusement les mots qui le désignent
Le disputent à l'exécrable à l'odieux.

C'est la grande pitié de la langue française
C'est son talon d'Achille et c'est son déshonneur
De n'offrir que des mots entachés de bassesse
A cette incomparable instrument de bonheur.

Alors que tant de fleurs ont des noms poétiques
Tendre corps féminin' c'est fort malencontreux
Que la fleur la plus douce la plus érotique
Et la plus enivrante en ait de plus scabreux.

Mais le pire de tous est un petit vocable
De trois lettres pas plus familier coutumier
Il est inexplicable il est irrévocable
Honte à celui-là qui l'employa le premier

Honte à celui-là qui par dépit par gageure
Dota de même terme en son fiel venimeux
Ce grand ami de l'homme et la cinglante injure
Celui-là c'est probable en était un fameux.

Misogyne à coup sûr asexué sans doute
Au charmes de Vénus absolument rétif
Etait ce bougre qui toute honte bue toute
Fit ce rapprochement d'ailleurs intempestif.

La malpeste soit de cette homonymie
C'est injuste madame et c'est désobligeant
Que ce morceau de roi de votre anatomie
Porte le même nom qu'une foule de gens.

Fasse le ciel qu'un jour, dans un trait de génie
Un poète inspiré que Pégase soutient
Donne en effaçant d'un coup des siècles d'avanie
A cette vraie merveille un joli nom chrétien

En attendant madame il semblerait dommage
Et vos adorateurs en seraient tous peinés
D'aller perdre de vue que pour lui rendre hommage
Il est d'autre moyen et que je les connais
Et que je les connais.

Lundi 30 juillet 1 30 /07 /Juil 23:50
- Publié dans : textes - Communauté : l' érotisme soft amateur - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Pendant mes vacances au Maroc, sur le site d'Aît benhadou dans le sud, 
j'ai rencontré un ange.
Une fille dans une robe jaune, d'un érotisme à vous couper le souffle !!!
Le tissus était si fin que la belle en paressait nue... Pas que l'on voyait au travers, ou si peu, mais parce qu'il épousait parfaitement tous les méandres 
de son corps.
Un vent coquin colait le mince textile à une peau que l'on devinait lisse et 
souple.
Par devant, c'était tout juste si son sexe ne se dessinait pas en relief !! 
Par derrière ses 2 fesses rebondissaient violemment, et leur séparation, 
sillon de plaisir, n'avait plus de secret pour le passant.
La jupe était courte et ses cuisses se laissaient facilement dévoiler par la 
brise du soir.
Et que vous dire de ses seins pointus et dressés parfaitement dessinés 
par le tissus.
Ses yeux étaient d'un bleu éclatant, et sa chevelure d'un blond assorti
aux couleurs du soleil couchant.
Une vision de rêve pour une femme de 1,65m à peine, mais avec une 
présence qui envahissait le site ! A mes yeux seule cette beauté érotique
avait de l'importance et la majesté du bâtiment n'y pu rien changer... 

Mercredi 5 septembre 3 05 /09 /Sep 21:17
- Publié dans : textes - Communauté : Erotisme - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Je ne pense qu'à ça ! comment résister à ces pensées:
Mon gland cherche son orifice, et trouve ses 2 lèvres... Il est absorbé, et ses 2 velours aspirent mon cap. Ils enduisent mon bout de leur liqueur, elle lèche, lèche, lèche, et la rigidité s'emplifie... Sa langue frotte ma peau, sa salive se mélange à mon huile... Je résiste, mais la plaisir emplit ma verge. Les 2 lèvres avancent et réculent sur le gland, j'ai l'impression d'avoir trampé mon sexe dans du miel, et plus elle caresse, plus le sucre s'adoucit... Au bord de l'extase, je descends et trouve ses deuxièmes lèvres. Dieu a pourvu à tout. Les orifices du bas sont aussi jubilatoires, que celui du haut. Je frotte mon gland contre ses lévres, nichées entre ses cuisses, elle s'enduit d'une huile dont l'odeur me hante nuits et jours. Le goût de cette liqueur est à nulle autre pareil, un mélange de sucré, de sirupeux et de blancheur laiteuse. Je me nourrirai que de toi liqueur féminine... Elle râle de joie sur le frottement câlin de mon sexe, il ne demande qu'à pénétrer mais il laisse durer le plaisir. Lorsque ma hampe s'introduit elle frôle délicatement son embryon de pénis, elle crie de plaisir... Ma vie pour cet instant... Je vais et je viens dans le calice d'amour, l'huile se déverse et excite les peaux, elle favorise le glissement et devient l'allié de ma vigueur. Les mouvements s'accélèrent, s'accélèrent, s'accélèrent, l'écrin m'enduit de sa substance et favorise mon plaisir, elle jouit sous les coups de butoir de mon sexe. Nous ne faisons plus qu'un et ma verge s'enfle jusqu'à l'extase finale.
Ma sève se répend, et se mélange à la sienne, nous restons ainsi unis jusquà ce que mon sexe se détende et que ma belle rugisse de joie...


Mercredi 12 septembre 3 12 /09 /Sep 23:56
- Publié dans : textes - Communauté : passion exhibition - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
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Elle,  
Vaporeuse, 
Sensuelle,
Brûlante,

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Lui,
Fougueux,
Sensible,
Ardent,
                                                               
 
 
Ils se désirent, s'attirent. Au coeur des effluves d'encens, 
à la lueur ambrée des bougies, ils se rejoignent. La soie du lit 
attend leurs corps. Leurs lèvres se soudent, leurs mains s'emmêlent. 
Leurs souffles s'accélèrent, leurs soupirs rythment leurs caresses. 
Elle, ressent des frissons naviguant sur sa peau, lui, perçoit 
des ondes de désir dans ses reins. Les minutes voluptueuses 
égrènent leur prélude, danse d'ombres enlacées, balai de 
caresses libertines . Puis les instants fièvreux viennent bousculer 
cet avant-goût. Le corps à corps commence, érotique, charnel, 
animal, lui en elle, mouvements délicieux, ondulations impudiques, 
étreintes indécentes. Elle cambre ses hanches pour l'accueillir, 
il la possède, précis et puissant. Il aime la prendre, 
elle aime le retenir en elle. Le plaisir monte lentement, 
embarque les amants dans un tourbillon, puis leur jouissance explose
à l'unisson de leurs corps. Doux moment accroché 
dans le terne quotidien. 

écrit par armandine http/armandie-papillonne.over-blog.com


Article exceptionnel réalisé par deux internautes à distance, l'un plait 
à l'autre, l'autre plait à l'un, et le tour de magie est joué...
J'espère que vous aimez et que vous en ferez de même.

Lundi 1 octobre 1 01 /10 /Oct 11:29
- Publié dans : textes - Communauté : l' érotisme soft amateur - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires


"Emmanuelle a décidé d'adopter une philosophie de l'habillement:
porte-t-elle une jupe?, celle-ci est désormais transparente ou fendue,
et d'une bonne main plus courte que les autres;
si elle est ample ou plissée, elle la relève pour s'asseoir.
Lorsqu'elle est étroite, le tissu remonte de lui même,
et laisse découvrir sa peau jusqu'à ces lèvres.


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De jour elle aime les jerseys translucides et les tricots pelure d'oignon
qui colorent sa poitrine et mettent en valeur les pointes.
Ou les chemisiers qu'elle ouvre j'usqu'à la taille.
Le soir les décolletés carrés ou ronds, qui laissent apparaître
l'aréole et permettent de voir ses seins en entier
dès qu'elle se penche. Elle n'aime pas les robes
larges, parce qu'il faut qu'elles collent à ses formes.
Quant aux sous-vêtements, elle n'en porte plus jamais"


Jeudi 18 octobre 4 18 /10 /Oct 22:30
- Publié dans : textes - Communauté : l' érotisme soft amateur - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Aujourd'hui je vous fais une petite bafouille pour vous remercier. Vous êtes trés nombreux à me dire que vous appréciez mon blog, qui est aussi le vôtre. 
Vous commencez à m'envoyer des images persos, vous faîtes un premier vers l'érotisme que vous n'avez jamais osé réaliser et c'était l'objectif de départ.
De plus, au vue de la répartition de vos consultations vous devez être autant d'hommes que de femmes et chacun y trouve son compte.
Je vous remercie donc, vous qui contribuez à me motiver à continuer, et j'encourage les autres, pour les plus timides à me laisser de plus en plus de commentaires, et pour les plus entreprenants à oser faire le premier pas et à m'envoyer vos photos soft de nu(e)s.
Pour le deuxième objectif, découvrir la femme qui voudrait bien de moi, ce blog n'a pas atteind l'objectif, je suis toujours seul !! je me trompe surement de méthode, si vous avez des conseils je suis preneur.
Amitiés érotisantes et érotiques pour tous

Jeudi 1 novembre 4 01 /11 /Nov 10:35
- Publié dans : textes - Communauté : l' érotisme soft amateur - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
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Objet de convoitise, fleur de plaisir, comme un lys, une orchidée, un arum, je t'hume, je t'éffleure, et je te cueille...
Ouverture vers le ciel, tes lèvres me hantent, la nuit, le jour, devant mes yeux,
ton odeur sucré me poursuit...
je t'aime saignée...
Il te répond, il se prépare, raide,
il gonfle et se gorge de sang...
Il ne pense qu'à te retrouver, te flôler, te pénettrer, et te remplir de sa semence...
Deux parties de corps qui ne peuvent vivre l'une sans l'autre.


Merci à toi Lize pour ta participation.


Vendredi 14 décembre 5 14 /12 /Déc 14:55
- Publié dans : textes - Communauté : Le sexe d@ns tous ces ét@ts - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Je pars en vacances, je vous laisse sans nouvelles images, mais avec deux cadeaux:

J'ai créer un nouvel album d'images interdites, que je n'ai jamais voulu publier jusqu'à présent, alors consultez-le et délectez-vous.

Je vous donne ensuite rendez-vous aprés le 10 août, à Villeneuve les maguelones, prés de Palavas les flots, aprés le restaurant des frères Pourcel. Il s'agit d'une plage de naturiste. Car j'ai franchi cette année le pas du naturisme collectif.
C'est magnifique, un sentiment de liberté vous envahit. Personne ne juge le physique de l'autre, et de plus vous voyez des merveilles.
Mais surtout vous dépassez la nudité et vous regardez autre chose chez la femme !
Vous assumez votre corps (et ses défaults) car tout le monde est nu et ne vous regarde pas en tant que tel.

Essayez avec moi.

Rendez-vous est pris, trouvez-moi et bronzons ensemble...





De plus je vous promets que j'essaie de rapporter des photos,
alors continuez à venir sur mon blog,
et bonnes vacances à tous.


Samedi 26 juillet 6 26 /07 /Juil 23:21
- Publié dans : textes - Communauté : l' érotisme soft amateur - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

 

 

J'ai caché aujourd'hui, dans un album de mon blog,

2 photos de moi à visage découvert.

Pour ceux ou celles qui les trouveront,  

j'offre la photo de leur choix non brouillée,

par retour de mail.

 

Alors à vos recherches, fouillez bien, et découvrez mon visage...


Lundi 24 novembre 1 24 /11 /Nov 11:43
- Publié dans : textes - Communauté : Le sexe d@ns tous ces ét@ts - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Terminer, fin des émissions !

Voilà plus de deux ans que j'alimente ce blog,
aujourd'hui j'arrête !


Je laisse les articles et les photos à votre regard,
mais je n'ai plus l'impression d'apporter quelques choses.

Créer un blog de ce type c'est un éxutoire,
une victoire sur soi-même.
Se prouver qu'on est capable de se présenter
dans son plus simple appareil,
voir si on plait, s'éxhiber, avec comme seul objectif
de se montrer nu aux autres et de voir se qu'ils en pensent.
Tout cela est psy, mais le but est atteint ça fait du bien,
ça rend confiance aprés des échecs,
ça aide à se reconquérir soi-même.

Alors il ne faut pas hésiter,
montrez vous nu(e)s,
mais un nu beau, érotique et esthétique.
Il y a tant de laideurs sur la toile !!

Essayez aussi le naturisme collectif,
c'est encore mieux !

Mais n'oubliez pas une chose :
il n'y a que l'Amour qui compte !










Dimanche 4 octobre 7 04 /10 /Oct 09:30
- Publié dans : textes - Communauté : coquine exhib - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires


Que l'Amour qui compte !

Mais pour être aimé, il faut déjà s'aimer soi-même.
S'exhiber, se dépouiller de tous nos artifices,
enlever l'enveloppe sociale,
ça aide à se retrouver, à reprendre confiance.
On est tous différents, et pareil à la fois,
les mêmes défauts physiques,
les mêmes interrogations,
quand on se retrouve nu tout disparait !

C'est quand on montre tout, que les autres
ne regardent plus votre corps,
le naturisme collectif en est une preuve.

Quand vous vous êtes retrouvé vous êtes plus agréable,
à regarder, à vivre, et donc à aimer.


Dimanche 4 octobre 7 04 /10 /Oct 09:43
- Publié dans : textes - Communauté : passion exhibition - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Profil

  • rob12
  • un homme à nu
  • Homme
  • 10/10/1956
  • rencontre photos plaisir nu érotisme
  • je suis un homme normal, j'aime les femmes et le plaisir qu'elles peuvent nous donner. mais je pense que l'amour ne se partage qu'à 2. c'est dans les moments de rencontres physiques que le couple ne fait plus qu'un. jouir veut dire profiter et savourer cet instant d'osmose éphémère mais grandiose que la nature nous offre. j'ai toujours adorer l'érotisme, découvrir un corps sans vulgarité, mais pour sa beauté, c'est comme une offrande à l'autre, on lui fait découvrir sa plus pure intimité.

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